
Distribution
Mise en scène : Christine Kolmer
Création lumière / régisseure : Laetitia Hohl
Création sonore / régisseur : Julien Lang
Scénographie et construction marionnettes : Christine Kolmer
Conseiller technique pour la scénographie ; Antonin Bouvret
Construction scénographie : Olivier Benoit
Costumes : Elsa Poulie
Chargée de production : Hélène Lantz.
Avec :
Christine Kolmer, Anne-Sophie Diet
et Céline Bernhard.
Coproduction :
Le Point d'Eau à Ostwald, le CREA à Kingersheim
Aides :
DRAC Alsace Champagne Ardenne Lorraine, Ville de Strasbourg, Région Alsace
Champagne Ardenne Lorraine, Conseil Départemental du Bas-Rhin.
Soutiens :
Agence culturelle d’Alsace, le Point d’Eau, Espace K, le PréO, l’Espace
Culturel de Vendenheim, Ville de Strasbourg.
Ce spectacle a bénéficié du dispositif Arts Vivants en Alsace.
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Le Spectacle
« La vie ne tient qu’à un fil », «
dérouler le fil de sa vie », les expressions rappelant la fragilité de la
vie ne manquent pas. C’est en se penchant sur ce champ lexical complété, par
le passionnant mythe des Moires que Christine Kolmer a conçu Sur le fil
l’espace d’un instant, « deux petites formes qui s’enchaînent, se complètent
et se répondent » à partir de marionnettes réalisées au crochet. Il est ici
question de la place de l’homme en tant qu’être éphémère et de notre
capacité à prendre en main notre destin.
La compagnie Le théâtre de Christine Kolmer,
fondatrice de la compagnie des Imaginoires en 2002, prend ses sources dans
les arts plastiques. Après deux diplômes en cinéma/audiovisuel et aux Arts
décoratifs de Strasbourg, la plasticienne se forme à l’art de la marionnette
et au théâtre d’ombres. Dans ses créations, le texte laisse place à la
matière et aux univers sonores et visuels. Depuis L’Oubliette,
premier spectacle créé en 2002, en passant par L’envol, mis en
scène par Eve Ledig en 2012, Les Imaginoires croquent les sentiments humains
et questionnent une certaine forme de déterminisme.
Quelques mots de Christine Kolmer
« Ce spectacle cristallise pas mal de choses sur lesquelles j’ai beaucoup
travaillé. Je fonctionne par symboles. Je voulais interroger la question du
libre-arbitre : qu’est-ce qu’on raconte de ça ? Ce destin tout tracé,
peut-on s’en sortir ? Quels choix fait-on ? La question reste ouverte.
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