Benjamin Henocq est l'alchimiste des rythmes pour le trio Prysm dont il est co-fondateur et co-leader (avec Pierre de Bethmann et Christophe Wallemme).
Il est musicien professionnel depuis 1985 et a joué dans les
principaux clubs et festivals français et internationaux. Il a été
primé au concours de la Défense et sélectionné aux Victoires de la
Musique. C'est aussi le batteur énergique du quintet de Stefano di
Battista & Flavio Boltro et un ancien membre du groupe Kartet. Un
parcours déjà riche et remarqué auprès de quelques grands comme
Kenny Garrett, David Linx ou Lee Konitz. Il ne se passe pratiquement
pas un mois sans qu'un disque ne sorte avec Benjamin Henocq. Il est
aussi pratiquement impossible de le rater dans les clubs de jazz
parisiens.
Mais pas opportuniste, Benjamin est simplement indispensable comme
le prouve son passé au sein de Quoi de Neuf Docteur Big Band, du
P.O.M. de François Jeanneau & Andy Emler ou du quartet de Olivier
Témime. Ces dernières années, il aura été engagé pour notre plus
grand plaisir par Eric Le Lann, les frères Belmondo, Robin Eubanks,
Glenn Ferris, Harold Land, Rick Margitza, Sylvain Beuf, Marc Ducret,
Didier Lockwood, Philip Catherine, Louis Winsberg, Martial Solal,
Laurent de Wilde, Denis Badault, Jean-François Jenny-Clarke, Henri
Texier, ...
Il croise aussi sur son parcours discographique des musiciens aventureux comme Patrice Caratini ou Philippe Sellam et bientôt Jean-Marie Ecay et Marc Michel de Bévillon
pour un très attendu nouveau trio, inédit et talentueux.
Les dernières formations de Benjamin ont reçu de la presse un
accueil enthousiaste :
Nova Mag (Nov 2000) :
"Avec son projet de "Tribute to the Headhunters", Henocq nous propose plus qu'un
revival de la musique de Herbie Hancock : sa version an 2000. Batteur de Prysm,
il est l'un des meilleurs en matière de rythme ternaire. Là, il se jette à coeur
joie dans le binaire avec le groupe adéquat...Very Funky!"
Nova Mag (Mai 2000) :
"...Bonne surprise : la dernière star française de la batterie be-bop a
choisit le funk pour planter le premier concert qu'il donne sous son nom. "The
one and only drummer" rend hommage à Herbie Hancock..."
Le Monde (Avril 2001) :
"...Il y a chez Prysm une grande science harmonique partagée, y compris au coeur
de la batterie - le choix des cymbales, la tension des peaux, la frappe, sont
avec Henocq comme une chanson - une pulsation interne, ce mystère qu'est le
swing...." Sylvain Siclier.